• Calcinée

    Par ahoui dans toiles & papiers le 17 Octobre 2008 à 00:00
    Maison 019 Tu construis l'incendie
    comme ta maison     *

    Deux premiers vers d'un poème de Serge Pey, remarquablement édité chez Jacques Brémond dans un recueil illustré d'encres de Balbino Giner. Ce poème avait auparavant été gravé sur un bâton de châtaignier.

    Au risque de lasser, une autre maison : la numéro 019 dans la série en cours.**


    * Serge Pey, La définition de l'aigle, photographies du paysage, Jacques Brémond éditeur, 1987,  p. 57
    ** Maison 019
    2008, acrylique sur toile, 22 x 30 cm. Collection privée    .
    « Supérieur au savonAvis »

  • Commentaires

    1
    nina de zio peppino
    Vendredi 17 Octobre 2008 à 09:06
    Très mystérieux…
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    2
    lizagrece
    Vendredi 17 Octobre 2008 à 11:26
    Je la vois plus givrée qu'incendiée cette maison !!!
    LIZAGRECE
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    3
    Yves Barré
    Vendredi 17 Octobre 2008 à 11:46
    Non ? Pour le mystère, fallait passer hier.
    Répondre
    4
    Yves Barré
    Vendredi 17 Octobre 2008 à 11:48
    Ferme vite la porte du frigo.
    Répondre
    5
    Topa
    Vendredi 17 Octobre 2008 à 13:57
    "Quand la maison de ton voisin brûle, apporte de l'eau à la tienne." (proverbe suédois)
    Répondre
    6
    Cecile
    Vendredi 17 Octobre 2008 à 20:10
    Combien de temps faut-il pour construire sa maison ... ? ...
    Répondre
    7
    Yves Barré
    Samedi 18 Octobre 2008 à 00:50
    Mon voisin, forcément, avec sa maison en paille !
    Répondre
    8
    Yves Barré
    Samedi 18 Octobre 2008 à 00:53
    Tu me confortes dans l'intérêt de mon projet.
    Répondre
    9
    Yves Barré
    Samedi 18 Octobre 2008 à 00:54
    Est-elle jamais construite ?
    Répondre
    10
    Oncle Pa
    Jeudi 7 Août 2014 à 18:36
    Est-ce le produit d'une campagne qui ne dit pas son nom.. Est-ce la force de l'habitus ? Est-ce le déroulement d'un message qui s'avère vrai ?
    Je viens de me rendre compte que j'aime la litanie de ces maisons de couleurs..
    Mon oncle, Jacques qui fut exilé un trop long temps, du côté de Mathausen, qui m'appelait Tom, aurait été locataire de ces cases de vies à vivre.
    So long tonton..

    Oncle Pa
    Répondre
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