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Copié des Anglois
« Courses de Chevaux.
Nous les avons copiées des Anglois ; c'est la bête qui remporte le prix : on fait jeûner le Jockei qui doit conduire, afin qu'il pèse moins. Les paris s'ouvrent & il se perd beaucoup d'argent.»
Louis-Sébastien Mercier, Tableau de Paris, tome IV, Amsterdam, 1784
Course de chevaux, 2009, acrylique sur toile, 46 x 55 cm
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Commentaires
1martineJeudi 26 Novembre 2009 à 01:17Je parie placé + gagant sur le cheval bleu !RépondreAux serpentins des pattes des chevaux répondent en écho les bras, les vivats et les bravos du public enthousiaste.– Il aurait pas pu s'appliquer pour les pieds des chevaux ?
– Si, sans doute... J'ai même pensé compenser la naïveté du trait des "serpentins" par une ombre la plus réaliste possible. Ce n'était pas l'essentiel et ton court billet dit justement une intention de l'artiste.On ne monte pas à cheval les deux jambes du même côté, surtout si on ne s'assied pas sur la bête !
La course est débridée... les jockeys, je ne sais pas.L'Herbe rouge, beau roman assurément, mais, c'est l'automne et les pékins applaudissent.12FloraJeudi 7 Août 2014 à 18:22Maison... ah! l'fitte?13lizagreceJeudi 7 Août 2014 à 18:22Ils sont très légers ces jockeys sur leur monture .. Un peu débridés peut-être ??14Oncle paJeudi 7 Août 2014 à 18:22La dernière fois
que je vis
Yves de visu,
j'avais noté
le temps
que passait
sa compagne
à tresser..
sa queue de cheval.
J'admire là
la fougue
des corps chevalins,
tous tendus
pour ne pas être
à la queue
du peloton.
J'aime
l'herbe rouge.
Un si beau roman ?
oncle pa
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