Bravo pour la dédicace et pour ce tableau si troublant...

Laine et l'autre.

La laine sur le dos...

La première à droite est si jeune, pleine de rêves...

Les chômeurs actuels ne sont pas privés d'air, surtout quand ils perdent leur logement et qu'ils campent ! C'est ça que l'on appelle le progrès ?

un réalisme qui sent le suin et la sueur.

signé : une âme mateur

Au siècle précédent, c'était de la chair à canons.

Troublant en effet : cette enfant au premier plan semble heureuse de son travail.

Pas aussi coton qu'on peut le penser.

Une fête qu'ils et elles n'ont pas volée.

Aux sens propre et figuré...

« (Et moi, j'm'ennuie à la pensée

Qu'la Vie n'leur servira qu'des gnons.) »

Jehan Rictus

C'est le même appât du gain qui fait le travailleur exploité et le chômeur.

On ne connaît pas les intentions du peintre, mais ce choix d'un moment de vie d'un atelier n'est sans doute pas un hasard.

La laine, la vie humaine, le même matériau

Oui... quand il s'agit de tondre !

A ces femmes, leur a t-on suffisament répété : faites des travailleurs ?

oncle pa

une pensée pour tous ces travailleurs qui ne sont pas à la fête, très beau tableau!