• Instants nomades

    Yves Barré

    Quand j'ai découvert le tapuscrit de Chantal, c'est l'idée de chemin qui s'est d'abord imposée, bien qu'elle écrive qu'il n'y avait / ni route / ni chemin. Et j'ai déroulé l'idée, en m'attachant aux traces que le vent et la vie s'obstinent à effacer.

    L'illustration s'étale sur une toile de grande largeur dans laquelle j'ai découpé (virtuellement) 12 images.

    L'œuvre abstraite traduit une atmosphère, un ressenti de lecteur. Elle n'a pas d'autre ambition qu'être un contrepoint léger à l'écriture dense de l'auteure.

    Yves Barré

     

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    – à l'infini
    pour panser
    les brûlures du monde.

     

    Chantal Couliou

    Instants nomades
    Gros Textes, 2022

     

     

    « InstantsVues de l'atelier »

  • Commentaires

    1
    Dimanche 26 Mars 2023 à 10:40
    individu1671137

    À l'instant où j'écris, j'ai l'impression que ce billet n'est pas allé au bout de son chemin.

      • Mardi 28 Mars 2023 à 21:05

        La faille temporelle qu'évoque parfois Topa. Désolé de t'avoir entraîné dans l'inachevé.

    2
    Mardi 28 Mars 2023 à 07:03

    L'infini, c'est loin, surtout vers la fin...

      • Mardi 28 Mars 2023 à 21:07

        C'est vrai.

    3
    Mardi 28 Mars 2023 à 07:37

    Poème  et tableaux infiniment beaux... 

    "Je ne suis pas un robot"...

      • Mardi 28 Mars 2023 à 21:08

        Merci Minik.

    4
    Mardi 28 Mars 2023 à 10:07

    une partition .... à lire : chanter : jouer avec quelle instrument ?

    signé : mineur ou majeur 

      • Mardi 28 Mars 2023 à 21:10

        Un instrument qui dirait le vent, très présent dans ces Instants nomades.

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