• Le sens de l'humour n'est pas donné à tout le monde

    « Pourquoi le chat est-il devenu notre petit compagnon familier, hein ? Pourquoi le chat et pas, par exemple, le lapin ? [...] Le lapin est aussi doux à caresser que le chat, il doit être aussi affectueux, pas de raison, en tout cas il ne lacère pas la tapisserie du canapé ni les yeux des petits enfants, on peut le transporter par les oreilles, très pratique pour le voyage... Surtout, surtout, ses petites crottes dures ne sentent rien. Pratiquement rien. À moins, bien sûr, d'être un renard... »

    François Cavanna, Maria

    Chat sur la chaise

    Eau-forte, Chat sur la chaise, 2014, 10 x 15 cm

     

     

    Le titre du billet est emprunté à François Cavanna, ... et le singe devint con (11e leçon)

    « Salon de l'automobileMauvais genre »

  • Commentaires

    1
    Vendredi 31 Janvier 2014 à 07:54

    "L'amour des bêtes est, ainsi que tous les grands sentiments, ridicule et délicieux, plein de démence et de douceur, capable d'extravagances véritables aussi bien que des plus sages, des plus solides volontés" écrivait Zola. Ton eau-forte exprime bien cette pensée ! Mais au fait, sont-ils tous les quatre dans un bocal ?

    2
    Vendredi 31 Janvier 2014 à 11:19

    le chat ne grignote pas les fils conducteurs. mais on ne peut plus entretenir la discussion, Cavanna a lâché la barre.

    signé : Gaspard

    3
    Samedi 1er Février 2014 à 10:15

    Salut Yves! Si tu veux savoir ce qu'une vraie chatte pense de tout ça,va voir sur mon blog.

    http://misty-chat.over-blog.com/

    C'est alain qui m'a donné l'adresse de ton blog!

    bises.

    4
    Samedi 1er Février 2014 à 10:31

    Je n'entends que quelques mots au chat, mais ce blog est un petit bonheur de lecture.

    5
    Samedi 1er Février 2014 à 10:39

    Il me semble que je suis assez douée sur un clavier, pour une minette de 10 mois! Les nouveaux chats sont de vrais geeks...

    6
    Samedi 1er Février 2014 à 10:47

    Et on ne peut parler, en l'occurrence, de passer l'arme à gauche.

    7
    Samedi 1er Février 2014 à 10:54

    Certaines vives douleurs devant la mort d'un animal m'ont souvent paru incompréhensibles.

    Les poissons sont dans un espace – j'allais écrire intemporel – disons hors dimension.

    8
    Samedi 1er Février 2014 à 10:56

    Il est beaucoup question dans ce chapitre de Maria, de la pisse du chat et de son odeur qui fait oublier toutes les autres.

    9
    Dimanche 2 Février 2014 à 07:48

    L'annonce de la mort de Cavanna m'est arrivée dans le taxi, entre Montparnasse et gare de Lyon...

    J'écrirai un petit billet prochainement pour saluer son départ.

    10
    Dimanche 2 Février 2014 à 23:07

    Rencontre de lecteur inoubliable. J'ai longtemps recherché sans le retrouver, un article de Charlie Hebdo, dans lequel il se reprochait de ne pas prêter ses livres tant il était déçu de les retrouver pages écornées, dos cassé... la déception l'emportant sur l'envie de partage.

    11
    Lundi 3 Février 2014 à 09:52

    Croisé il y a longtemps à Paris au jardin des plantes, un bonjour souriant de tout le visage et du fond des yeux, il avait l’air d’être aussi bon-tendre que je l’imaginais.

    La mort en venant le prendre aurait pu confondre avec Cavada (Jean-Marie), ça ne m’aurait pas dérangé.

    12
    Lundi 3 Février 2014 à 23:02

    Il ressemblait à ses livres.

    13
    Mardi 18 Février 2014 à 19:55

    Il a toujours raison Cavanna. La seule fois où il a eu tort c'est quand il est mort.

    14
    Mercredi 19 Février 2014 à 11:37

    Oui.

    15
    Flora
    Jeudi 7 Août 2014 à 17:29

    Quand on épluche des oignons, il faut en même temps penser à quelqu'un qu'on aime bien et qui est mort, sans quoi ce sont des larmes perdues."
    CAVANNA; Le saviez-vous"

    Ecco tutto, ciao e basta !

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