• Ne bougeons plus

    Par ahoui dans ya pas photo le 27 Février 2010 à 00:00
    Du gris et puis... Annabelle et Christine dans Du gris et puis...*

    J'ai tenté d'obtenir de la danseuse qu'elle suspende son mouvement.
    En vain.

    * Une création de la Cie Robin & Juteau. Prochaine représentation : dimanche 7 mars, à Coulans-sur-Gée, La Longère, 16 h 30
    « Régional de l'étapeOn peut compter sur le mouton »

  • Commentaires

    1
    Cristophe
    Samedi 27 Février 2010 à 02:23
    Les danseuses, faut toujours qu'elles se fassent remarquer !
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    2
    Yves
    Samedi 27 Février 2010 à 08:47
    Le plaisir est pour nous.
    Répondre
    3
    anita
    Samedi 27 Février 2010 à 10:31
    Le bonheur est sur la scène, cours-y vite!
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    4
    TELOS
    Samedi 27 Février 2010 à 11:00
    ta photo est superbe avec ces 2 parties qui s'opposent ,non se complètent sombre /couleur ,juste l'énergie de la danseuse/attente admirative de la "femme en jaune!
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    5
    Yves
    Samedi 27 Février 2010 à 11:32
    La légende raconte que Turner s'était fait ligoter au mât d'un navire pour peindre la tempête en mer... Sois prudente.
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    6
    Yves
    Samedi 27 Février 2010 à 11:34
    Si tu savais l'énergie que ça représente aussi pour le photographe...
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    7
    martine
    Samedi 27 Février 2010 à 13:33
    Pour le temps de la photo "ô temps ! suspend ton vol..." eut été peut-être plus judicieux...
    Répondre
    8
    lizagrece
    Samedi 27 Février 2010 à 19:51
    La danseuse peut suspendre un seau mais pas suspendre son saut ...
    Répondre
    9
    Yves
    Samedi 27 Février 2010 à 20:24
    Un poème de Lamartine !
    Répondre
    10
    Yves
    Samedi 27 Février 2010 à 20:24
    Ah oui, c'est pas sot.
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    11
    Topa
    Samedi 27 Février 2010 à 23:00
    Le muscadet sur lie, lui aussi, s'accompagne d'une légère suspension...
    Répondre
    12
    Yves
    Dimanche 28 Février 2010 à 18:37
    Oui, mais pas au volant...
    Répondre
    13
    Yves
    Dimanche 28 Février 2010 à 21:30
    Et :
    ...  Plusieurs points, c'est le silence de l'homme qui a fait un calembour et qui attend que vous riiez.
    pouvait-on lire dans la Ruche littéraire et politique (Montréal, 1854)
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    14
    Oncle pa
    Jeudi 7 Août 2014 à 18:19
    L'apostrophe et la virgule
    sont les danseuses des mots.
    Le point virgule hésite,
    quand le point n'est que  
    le masculin d'un appui...

    Oncle pa, qui s'invite sur la pointe de quelques mots..
    Répondre
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