• Ombre de ton ombre

    Par ahoui dans toiles & papiers le 17 Décembre 2008 à 00:00
    Maison 170 (radiographie) – Esplique, qu'est-ce ?
    – J'explique. La maison 170 ne brillant pas par la richesse de sa palette, puisqu'il n'y a que blanc, nécessitait une prise de vue en lumière rasante – Je ne vous ennuie pas ? Un rayon de soleil propice a l'obtention de la dite lumière rasante ayant choisi – Choisit-on vraiment ? – de se manifester, aussitôt mon assistante* et moi entreprîmes-nous de sortir la toile de l'atelier et de la transporter au milieu du dehors, quand** une lumière vive révéla en ombres au travers de la toile, la structure du châssis et la variation du coup de pinceau entre le motif (la maison) et le fond. Beau ! Non ?

    * C'est beaucoup plus qu'une ombre, même si ça ne se voit pas sur cette photo.
    ** Soudain ! Étonnant ! Non ?
    *** Ombre de ton ombre, dans Ne me quitte pas. Tout Brel, sauf cette chanson !
    « Tout est mini dans notre vieLanges »

  • Commentaires

    1
    Cécile
    Mercredi 17 Décembre 2008 à 09:49
    La voisine d'en face; qu'on regarde à peine discrètement à travers le rideau
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    2
    Topa
    Mercredi 17 Décembre 2008 à 11:46
    Selon une enquête très sérieuse, le spectateur "lambda" a une chance sur 792.385 de se trouver devant ton tableau juste au moment où cela se reproduira...

    (Que signifie la dernière remarque ?)

    (A propos de remarque, m'sieur O-B ne nous demande plus d'encoder quoi que ce soit...)
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    3
    LIZA
    Mercredi 17 Décembre 2008 à 14:55
    Ca s'appelleune OMBRE CHINOISE - et pas forcément besoin d'être deux pour  en produire l'effet ! Mais c'est oi qui voit !!!
    LIZAGRECE
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    4
    Yves
    Mercredi 17 Décembre 2008 à 23:38
    Ce n'est pas celle qui, derrière un coin de son rideau levé, a un regard sur la rue.
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    5
    Yves
    Mercredi 17 Décembre 2008 à 23:51
    La chance – ou le risque – est faible. je lui conseille de passer de l'autre côté du miroir.

    Pour la dernière remarque : je ne goûte pas ce que dit la chanson. Je veux bien comprendre tous les chagrins d'amour et pleurer à l'occasion, mais pas qu'on se déprécie au point de souhaiter devenir l'ombre du chien de l'autre, autre façon de la mépriser.
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    6
    Yves
    Mercredi 17 Décembre 2008 à 23:53
    L'ombre aussi est un produit d'importation !
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