• WIP

     

    Un défenseur de l'agriculture française – maréchal oublié – déclarait que l'entrée des Cosaques serait moins désastreuse qu'une invasion de moutons étrangers. Il y a peu à craindre de ceux-ci, sinon qu'ils me distraient... Aussi revenons à nos moutons : on voit clairement sur l'écran de quoi rassurer celles et ceux qui attendent leurs illustrations.


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  • Un arbre avec des oiseaux Résolution de rentrée : ne pas laisser le retard s'accumuler.

    C'est déjà foutu !

    De surcroît, ce qui sort de l'atelier est à peine montrable (ne pas voir ci-contre).

    Pour s'en consoler, on lira avec plaisir l'élogieux billet que Claude Vercey consacre à "S'occupe des filles" dans son I.D. 347 de la revue Décharge.

    Prenez le temps de lire également (billet précédent) le Petit Cochon bleu du pub, poème de Erich Von Neff. On a tous dû boire un jour la même bière au même bar.


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  • Quand j'affirme que les lecteurs et lectrices ont du talent... la preuve.

    Ces deux bracelets, réalisés selon la technique de la frivolité – ne me demandez pas d'expliquer, c'est quelque chose comme un tissage de nœuds (sic) – ont retenu l'attention du jury du concours DMC "le plus joli poignet de l'été".

     

    Bracelets

    Créations de Maïette

     

    Fabricant français de fil à broder, DMC est une référence pour les brodeuses.
    En 1746, Jean-Henri DOLLFUS, Jean-Jacques SCHMALZER et Samuel KOECHLIN fondent une entreprise de tissus imprimés.
    Daniel DOLLFUS, neveu de Jean-Henri, en reprend la direction. En 1800, il épouse Anne-Marie MIEG et donne à l'entreprise sa nouvelle dénomination : DOLLFUS-MIEG & Compagnie* ou DMC.
    On imagine le succès auprès des brodeuses si on avait retenu pour dénomination sociale, les initiales des noms des trois fondateurs.


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  • Rippeurs

    Rippeurs à Brugge – août 2011

     

    La perte de mémoire par vieillesse atteint  les vieillards et les adultes qui ont trop joui de la vie.

    Elle a pour cause les travaux excessifs d'esprit, l’abus du coït, du tabac et des liqueurs.*

     

    * Source : Médecine expectante, par C. Vitet, ancien professeur en médecine. Tome cinquième, contenant les maladies d'esprit. Lyon, 1803.


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  • Taupinière

    Jardins de Chaumont-sur-Loire – juillet 2011

     

    François-Alexandre Aubert de la Chesnaye des Bois* ne ménage pas notre susceptibilité :

    « Les parties de la génération de la Taupe étoient bien configurées & beaucoup plus composées que celles de l'homme & des animaux Quadrupèdes ; c'est ce qui a fait croire, dit l'Observateur, que cette multiplicité d'organes donne à ces animaux plus de facilité de concevoir, & de jetter leur semence sans aucune agitation extérieure des parties, parce que les accouplemens de ces animaux se font vraisemblablement dans la terre, qui est un séjour fort incommode...» 

     

     

    * Dictionnaire raisonné et universel des animaux ou le règne animal, Volume 4, Paris, 1759


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  • L’art dans les chapelles invite, chaque été depuis 20 ans, des artistes plasticiens à dialoguer avec le patrimoine religieux de la vallée du Blavet et du Pays de Pontivy, des chapelles édifiées pour la plupart aux XVe et XVIe siècles.*

     

    Art dans les chapelles

    La chapelle Notre-Dame des Fleurs, à Moustoir-Remungol, reçoit cette année Slimane Raïs.

    Selon l'artiste, Odyssée, la sculpture installée dans l'édifice, vient en écho à la Liberté guidant le peuple de Delacroix. D'une posture de prière, le personnage se lève pour saisir le drapeau de la révolte. L'œuvre entre aussi en résonance avec l'actualité.

     

    * L'Art dans les chapelles, jusqu'au 18 septembre 2011


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  • Pic épeiche - Photo Régis Schmitt Jean Bertrand lutte contre la déforestation...

    Nous, Moi, Jean Bertrand ne ménageons pas notre (ma) peine pour lutter contre la déforestation et la survie, concomitante, du Pic épeiche, ce sympathique tambourineur des bois.
    La Forêt souffre de tempêtes, de coupes irréfléchies, d’une gestion mercantile qui la condamne à terme… D’autre part le Pic, parfois sympathique mais pas très intelligent, s’obstine à se nourrir d’insectes qui se logent dans l’écorce des arbres..
    Nous avons agi, et pour ce faire, grâce à l’aide précieuse de mon ami Régis du Riols, nous avons élevé quelques pics, de la sous espèce épeiche, afin d’adapter l’espèce aux dures lois de la modernité.
    Qui n’a pas vu toutes ces ferrailles, vestiges d’outils agricoles abandonnés, d’usines lâchement désertées par des ouvriers licenciés... Qui ? Qui ?
    Ben Nous
    Grâce à de puissantes perceuses nous avons implanté dans ces ferrailles des larves d’insectes sous inclusion plastique...
    Le résultat est là, probant, évident ! Nous sommes en cours de gagner cette nouvelle bataille digne d’une médaille que nous décernera un jour, le Grenelle de l’Environnement.

     

    Jean (l’astuce) Bertrand et Régis du Riols.

     

    Note du webmestre :

    Voilà que Jean (l'astuce) s'est trouvé un complice. On a tout à craindre des mois à venir.

    Crédit photo : Régis Schmitt.


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