• Bac d'abord

    Ouest-France 10.06.12

     

    À propos des sujets probables du bac de français 2012, je lis ici ou là (etudiant.fr) que « déjà très attendue l’an passé, la poésie est plus que jamais d’actualité cette année.»

    Mon journal dominical préféré ne semble pas partager cet avis.

    « Faire face avec vigueurEt rond, et rond... »

  • Commentaires

    1
    Lundi 11 Juin 2012 à 06:01

    le titre ne place pas la barre très haute..

    2
    Lundi 11 Juin 2012 à 06:58

    Abus de langage...

    Belle photo : Totor à (a ?) la barre, giscardien par anticipation...

    3
    Lundi 11 Juin 2012 à 11:47

    "t'as tord Totor tu t'uses et tu te tues pourquoi t'entêtes tu ?

    signé : le fantôme ed Guernesey

    4
    Lundi 11 Juin 2012 à 19:00

    Un titre pluss court :

    Fin de la poésie, début de l'ennui

    5
    Lundi 11 Juin 2012 à 20:46

    Dans l'article, je crois voir apparaître le nom de da Silva. Un poète (au moins) a porté ce nom : Christian da Silva, auteur aux édiions Cheyne, dans la collection "poèmes pour grandir" d'un très beau recueil : "Pour que le soir te prenne par la main." À découvrir ici :

    http://www.cheyne-editeur.com/poemes_grandir/da_silva.htm

    6
    Lundi 11 Juin 2012 à 21:54

    On est en pages Sports !

    7
    Lundi 11 Juin 2012 à 22:02

    La poésie n'a pas bonne presse !

    8
    Lundi 11 Juin 2012 à 22:04

    On dit également que sa boisson favorite aux herbes des Indes l'aurait débarrassé du chat qui l'enrouait.

    9
    Lundi 11 Juin 2012 à 22:05

    J'ai lu quelque part que tu avais un nouvel évier...

    10
    Lundi 11 Juin 2012 à 22:06

    Plu court encore :

    Fin, début.

    11
    Lundi 11 Juin 2012 à 22:24

    Dans la revue L'Arbre à paroles 99 de mars-avril avril 1998 qui lui rendait un bel hommage, Francis Chenot écrivait : «Ses coups de gueule sonnaient juste. Frappaient juste. Ils ne s'adressaient qu'à ces cuistres qui confondent mondanité littéraire et authenticité poétique.»

    12
    Mardi 12 Juin 2012 à 20:57

    La poésie est un combat au même titre que vivre est un métier (Pavèse). Un combat sur l'ignorance, une lutte incessante contre l'imbécilité et les extrêmes gouffres de la pensée unique. La poésie est sortie du rêve pour vivre dans la réalité quotidienne, et ce, par tous les moyens qui lui sont ouverts, à commencer par nous, petits bloggeurs sympathiques !

    13
    Mardi 12 Juin 2012 à 22:09

    J'aime ce "nous" – Rien n'oblige à fredonner ou brailler J'aime tes g'noux...

    J'aime ce "nous", disais-je, avant de m'interrompre moi-même. Et Nous, c'est également cette maison d'édition qui a sorti deux trésors parmi d'autres – je ne connais pas tous les titres – Les Zozios, de Jacques Demarcq et La Dissolution, de Jacques Roubaud.

    14
    Mardi 12 Juin 2012 à 22:15

    Suffirait d'écrire : pouaisie, on compterait alors huit lettres, mais ce serait licence... poétique.

    15
    lizagrèce
    Jeudi 7 Août 2014 à 17:49

    Bon ! je retourne à mon bac vaisselle !!!

    http://maisondeliza.over-blog.fr

    16
    Oncle pa
    Jeudi 7 Août 2014 à 17:49

    La poésie n'a plus que six lettres,

    la mathématique en a même pas treize.

    L'analphabétisme en a tant

      qu'elles sont indéchiffrables..

    Je compte sur mes doigts,

    le droit d'espérer..

    un calcul qui fatigue

    les riens qui me font

    être.

     

    Oncle pa

     

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