• Belle corne d'Irlande







    Le Manuel des dames* recommande « le peigne à démêler, à dos bombé, en écaille ou en belle corne d'Irlande. Quand les dents sont trop aiguës, il faut émousser leurs pointes, en les passant sur du papier plié en plusieurs doubles, comme si on voulait les scier. Faute de cette précaution, on fatigue le cuir chevelu, et d'ailleurs on s'expose à se déchirer la main gaucbe en lui donnant des coups de peigne à travers les cheveux, surtout lorsqu'on les peigne flottants.»



    * Le Manuel des dames ou l'art de l'élégance, sous le rapport de la toilette, des honneurs de la maison, des plaisirs, des occupations agréables, par Madame Celnart, Paris, 1833


    Croquis à l'encre de Chine.
    « Vous dansiez cet hiver aussiNi juchoir ni nids »

  • Commentaires

    1
    Mardi 10 Février 2009 à 09:33
    L'art de l'élégance est bien dangereux !!!
    LIZAGRECE
    2
    Mardi 10 Février 2009 à 09:49
    Eh oui ! Marat est mort dans sa baignoire !
    3
    Mardi 10 Février 2009 à 11:43
    Dernière minute :
    À Brest, en garde à vue pour deux peignes à 1,75 euro et un coup de poing. (journal ouest-France)
    4
    Mercredi 11 Février 2009 à 09:39
    En retard pour les commentaires... Motif : je peignais la girafe...
    5
    Mercredi 11 Février 2009 à 10:16
    Sur le cou, c'est long en effet.
    6
    Mercredi 11 Février 2009 à 11:28
    Pour ne pas fatiguer mon cuir chevelu ni risquer de me couper les mains, je n'utilise ni brosse ni peigne ... ce qui entraine beaucoup de démélés avec mes cheveux indociles
    7
    Mercredi 11 Février 2009 à 17:23
    Comme Rabelais, tu utilises le peigne de almain.
    8
    Mercredi 11 Février 2009 à 17:37
    Aujourd'hui, ma crémière faisait une promotion sur les yaourts Malo. J'en ai pris quatre.
    – C'est beaucoup plus terre à terre !
    – On ne peut pas tous être terre-neuvas !
    9
    mimi l
    Jeudi 7 Août 2014 à 18:32
    Vivement la mode des cheveux courts !
    10
    Hector san malo
    Jeudi 7 Août 2014 à 18:32
    Moi, malouin des terres, ça fait des lunes que j'marine. J'en ai mouillé des ancres dans les mers d'irlande et de Chine. j'en ai entendu des cornes de brume, mais j'ai jamais vu des sirènes aussi girondes.
    Dans le raffiot, y avait qu'une peine : rester vent debout, les cheveux hirsutes.

    Souvenirs d'Hector san malo
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