photo lumière..j'aime.

.je riz en ce moment les pieds dans l'eau la tête au soleil.

.pas besoin de journée de.....je me laisse aller dans la nature...

Patientons gentiment en attendant la journée mondiale de la journée mondiale qui permettra un tir groupé, beaucoup plus avantageux...

Cela dit, Morgan Riet a dû être inspiré par la mondiale des toilettes. A voir ici.

Quant à toi, on voit bien la suite logique avec l'étang de Gué-de-Selle...

C'est risqué de nos jours de ne pas sortir couvert !

 

La nature te remercie.

Mets tes bottes ou évite les crottes, dit le proverbe.

Ouf !!! j'ai de la chance : il ne pleut pas et je n'ai pas l'intention de courir la prétentaine aujourd'hui ...

Patienter... Patienter... Tu parles d'or. Il y a presse.

Dira-t-on du poème de Morgan Riet qu'il est bien torché ?

Plus encore que sortir sans couvert pour un pique-assiette...

Ici je m'assied

le temps d'apprécier.

Merci pour ce paysage bucolique.

Voilà qui est sage.

Tel que tu le lis là, il avait un autre projet, mais le temps le souffle lui a manqué.

Il faut reconnaître que l'automne et le soleil quand il daigne briller y sont pour beaucoup.

– La forêt aussi.

– Et le lac.

– Et le chemin.

Il n'y manque que les moutons.

– Et la bergère.

On me fait amical reproche que je la joue un peu facile avec ce paysage flamboyant, mais je me serais privé – nous nous serions privés – du plaisir de ton poème.

Après cette journée mondiale des chiottes, le promeneur serait bien avisé de mettre ses bottes s'il veut musarder dans les sous-bois.

Non d'un flibustier en rade de tonnerre de Brézels !!! J'l'crois pas ! L'Yves à la barre nous refait le coup du calendrier des Peuteuteu !!!

Non d'une hune !

Hector stupéfait

J'ai,

d'un juste et mesuré trot,

parcouru

cette forêt,

les fesses

en guise en assise cavalière.

Le fouet de l'air

me faisait la bouche

sèche...

J'allais à un rendez-vous

au bout de cet haliier.

Je calmais les flux torrentiels

de mon sang.

J'arrivais à maîtriser,

à tempérer

mes mains..

elles tremblaient tant..

 

Au bout de cette chevauchée..

elle n'était plus là..

elle ne pouvait être là.

Elle m'avait oublié.

Elle n'avait même pas vu

que cette aller était pour elle..

Je suis reparti,

descendu de mon cheval,

au pas,

d'où j'étais venu.

C'est à l'écurie,

que j'ai embrassé ce cheval

qui m'a mené

nulle part

 

Oncle Pa