On trouve, à côté de ce tableau, une petite étiquette sur laquelle on lit : "Réservé, Richard Virenque."

• • ahoui

    Mardi 15 Octobre à 21:23
    

    Je voyais l'insu du titre comme le participe passé du verbe "insavoir", utilisé comme adjectif.

    Cet insavoir a eu des velléités de s'inviter dans les dictionnaires, ce qu'on peut lire dans le Journal La Renaissance : politique, littéraire et artistique, 18 août 1928 :
    « Notez que, étymologiquement, on découvre, dans ignorer, un radical qui signifie savoir et un préfixe négatif. Le tout s'y trouve soudé aujourd'hui. Peut-être une évolution analogue transformera-t-elle le verbe ne pas savoir en un autre, qui s'orthographierait insavoir et qui se conjuguerait : j'insais, nous insavons, ils insavent, etc. Ce jour-là, le verbe insavoir rejoindrait le verbe ignorer dans la catégorie des vocables synthétiques, réservés à une manière d'élite ; son emploi deviendrait, désormais, intermittent.»
    
    Las, sombre découverte, insavoir apparaissait déjà dans L'Antijuif algérien : organe de la Ligue antijuive, du 25 septembre 1900 !

    Mes sources : gallica.bnf.fr

paysage qu'insinues tu ?

signé : à l'un sut

• • ahoui

    Mardi 15 Octobre à 21:26
    

    Lire ci-dessus, tu sauras ce qui est insinué.

Se perdre dans la couleur et se repérer dans le rectangle et se voir marcher dans le foisonnement électrique qui donne faim et soif, on se retrouve un midi ou un soir autour d'une bonne table rectangulaire ?

• • ahoui

    Mardi 15 Octobre à 21:28
    

    À voir.

    Tout vu !