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Lourde, lente
Lourde, lente, 1999, calcaire, h. 18 cm env.
Le titre de la sculpture est emprunté au roman d'André Hardellet, Lourdes, lentes...*
L'œuvre a fait l'objet d'un moulage pour un tirage en bronze.
* Lire sur le Matricule des anges, l'article documenté de Didier Garcia – que je salue s'il passe en ces lieux.
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Commentaires
Pratique Le canard enchaîné avec son grand format !C'est généreux... et c'est moins de boulot pour qui sculpte la pierre.
Et derrière, c'est l'Élysée qui craint l'enquête sur les sondages !Le fait est assez rare pour être souligné... pour le lire dans le train, il ne faut pas avoir de trop longues jambes...Je n'ai pas lu le roman d'André Hardellet, mais ta sculpture et la plume de Bruno Garcia, qui n'est ni lourde, ni lente, m'en donnent fortement envie.je connais la balle qui déstresse...maintenant il y a la fesse ......douce rondeur du 46!!!mais douce!
sympa ce blog ...je repasserai@plusJe lis chez toi un poème de Liska. Tu connais Lise ?non,je ne connais pas liska!j'ai acheté un recueil de poèmes:"arbres" et j'y ai trouvé le sien frais et léger comme un haïku alors je me suis permis de le citer pour que les blogueurs la découvrent ..
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Et derrière, sur le journal, qui craint quelle enquète ?