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Mou du mollet ?
Je reçois une carte postale de Toulouse-Lautrec. Bien sûr que ce n'est pas lui qui m'écrit – on ne se connaît pas – mais c'est lui qui a dessiné. Et là, franchement, il ne s'est pas appliqué. Observons ci-contre et attentivement ce détail.
Il l'a mise où, Henri – c'est son petit nom –, la cuisse du cycliste de droite ?
On dirait, comme dans la publicité suivante, une retouche ratée de photoshop !
Demain, tout sur la pompe Simpson. Ne changez pas de chaîne.
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Commentaires
en lithographie, les retouches sont impossibles, faut tout recommencer, je le comprends le Henri, une cuisse de cycliste ne vaut pas qu'on gâche une pierre.
signé : qu'on lui jette...
Ce que je dis d'Henri, c'est histoire de faire le malin, parce que je lui trouve beaucoup de dynamisme à cette réclame et j'ai cru comprendre qu'il faisait ces travaux par amitié.
Dans la chanson de Perret, la comparaison qui suit est un trait de génie : "sa taille est plus mince que la retraite des vieux."
Une bonne idée: faire Toulouse-Lautrec en tandem (mixte bien sûr)
(– Lautrec est dans le Tarn)
13jh leJeudi 7 Août 2014 à 17:25Henri, il abusait souvent de l'absinthe et la persspective lui faisait alors défaut. Si en plus il avait passé la nuit avec la Goulue fallait pas trop lui en demander...
14VougeotJeudi 7 Août 2014 à 17:25La pompe Simson, allez donc...
Et tu crois qu'on ne le voit pas arriver, le coup de pompe Simpson ?
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"On l'appelle cuisse de mouche, fleur de banlieue..." (Pierre Perret)