• On peut...

    On peut dire ça comme ça

    Chassé par la Révolution du collège où il enseignait, l'abbé Pierre de la Mésangère, au chômage,  s'attacha alors à décrire les toilettes des femmes dans  le Journal des dames et des modes. Deux mille gravures, réparties en vingt volumes détailleront les Costumes parisiens de la fin du XVIIIe siècle et du commencement du XIXe.*
    Les noms du dessinateur et du graveur ne sont hélas pas mentionnés. Sans vergogne, je leur ai emprunté les portraits des modèles pour composer les vignettes du Ficelle, tout frais paru : un recueil d'aphorismes de Bernard Colas, On peut dire ça comme ça.**

     

    Pour le plaisir :
    « Il n'est pas facile de vieillir. Mais une fois qu'on a commencé, mieux vaut finir.»

     

    * à voir sur le site gallica.bnf.fr
    ** Bernard Colas, On peut dire ça comme ça, collection Ficelle partagée, Rougier V. éditeur, 36 pages, 13 €

    « WIPCeci »

  • Commentaires

    1
    Lundi 16 Mai 2022 à 07:47

    Tes illustrations me font penser au journal de Vire, très présent : "la Voix le Bocage"...

    Les aphorismes de Bernard Colas ne manquent pas de sel ni de bon sens.

    Celui-ci par exemple : Pour voir la lumière au bout du tunnel, encore faut-il qu'il fasse jour.

      • Lundi 16 Mai 2022 à 18:33

        Bernard Colas est un aphoriste talentueux.

         

    2
    Lundi 16 Mai 2022 à 11:25

    finir, oui..

      • Lundi 16 Mai 2022 à 18:39

        Un quasi-poème pour la route :

        Trop tard pour rebrousser

        – La vie ?
        Tu peux pas te tromper
        Tout droit jusqu’au mur
        Puis passer à gauche.
        – Mais c’est une impasse !
        – Justement ! Tu es arrivé.

         

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