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Pittoresque
St-Symphorien (72) – octobre 2008
Je regagnais ma voiture garée le long du trottoir, un peu plus loin que chez Rodolphe, quand soudain je fus frappé par le pittoresque* et un reflet sur la lunette arrière.
Tout le pays n'est-il pas devant toi ? ouïs-je alors ; c'était une voix qui ajouta : Sépare-toi donc de moi : si tu vas à gauche, j'irai à droite ; si tu vas à droite, j'irai à gauche.**
* Depuis mes études primaires, je suis chaque automne frappé par le pittoresque quand il s'agit de décrire.
** Genèse, 13:9
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Commentaires
1anitaSamedi 11 Octobre 2008 à 00:17en fait, tout dépend du bistrot. Des fois, j'aime bien celui de gauche.RépondreBen, v'là aut' chose : en plus d'un rétro comme tout un chacun, Yves a une voix intérieure !...Sans doute voulais-tu écrire : une conduite intérieure...Je ne connais pas trop l'endroit mais si j'ai bien compris on passe par chez Nadine pour aller chez Rodolphe ...
LIZAGRECEVisiblement, tu sors de chez Nadine. Si tu veux finir ta soirée, j'habite un peu plus loin à gauche.
13Anne OnimJeudi 7 Août 2014 à 18:3614pingetJeudi 7 Août 2014 à 18:3615Oncle PaJeudi 7 Août 2014 à 18:36La genèse.. toute une époque, qu'écris-je ? Une épopée : nous avions les cheveux longs et pensions que le Capitalisme vivait la dernière crise de son existence.. Marx nous avait écrit que ce monde aurait une fin dans la douleur et la misère.. mais il;avait ajouté, dans sa lettre posthume, que nous aurions à conquérir notre avenir sur ces cendres annoncées..
Les cheveux grisonnent et se sont racourcis, il est peut être temps, alors, de s'y remettre, à la tâche...
La preuve que tout est possible, l'église m'apparaît dans le dos de la Clio..
Oncle Pa.
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