• Tuile

    Par ahoui dans ya pas photo le 19 Avril 2009 à 00:00
    Tuile
    Tuile quelque part en Vendée – avril 2009

    À bas couvreur, la tuile est cassée, disait-on à celui qu'on voulait faire descendre d'un lieu élevé.*


    * Dictionnaire des proverbes françois, George de Backer, à Brusselles, 1710
    « GondoléeOn ne laissera pas tomber »

  • Commentaires

    1
    Topa
    Dimanche 19 Avril 2009 à 09:17
    "Qui laisse une ardoise au bar des trois baudets
    trouvera une tuile quelque part en Vendée..."
                                                                       (proverbe germanopratin)
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    2
    Cécile
    Dimanche 19 Avril 2009 à 10:36
    ... ça rame, ça rame, sur over-blog ce matin ! mon article du jour ne veut pas apparaître, les commentaores mettent untemps fou à s'inscrire ... ce n'est pas "la tuile" c'est un toit entier ! à bas le couvreur !
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    3
    Yves
    Dimanche 19 Avril 2009 à 18:07
    Tuile dure longtemps ; pépin est bref.
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    4
    Yves
    Dimanche 19 Avril 2009 à 18:09
    Quand le bâtiment va... À l'inverse...
    Les points de suspension servent à merveille ma paresse naturelle.
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    5
    Yves
    Dimanche 19 Avril 2009 à 18:14
    Entendu sur le marché ce matin :
    – Je vous offre un petit brin de persil avec vos tomates ?
    – Non merci ! J'ai horreur du persil !
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    6
    Yves
    Dimanche 19 Avril 2009 à 22:09
    « De la poussière de mots, un poème »
    Toujours de James Sacré. À mon goût, l'un des plus importants poètes contemporains.
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    7
    Yves
    Lundi 20 Avril 2009 à 00:05
    Et Hector qui ne voit goutte a le gosier sec.
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    8
    oncle pa
    Jeudi 7 Août 2014 à 18:30
    Ahoui, la tuile d'olive
    sa si belle couleur d'or
    aux reflets vert tendre
    je ne cuisine
     qu'à la tuile d'oilve.
    Elle donne de la rondeur
    à mes plats.

    Oncle pa (myope, daltonien, astigmate et presbyte..)
    Répondre
    9
    André
    Jeudi 7 Août 2014 à 18:30
    La boue dans un chemin de l'enfance (on joue avec en gardant les vaches).
    La terre mouillée dans les mains de potier.
    Une tuile fragile qui a déjà beaucoup servi, là debout, avec d'autres contre un bas de mur.
    Un chantier avec une pelleteuse et plein de camions sales.

    Quelque chose d'usé et de neuf en même temps. Comme une mémoire.
    Une mémoire qu'on s'est perdu dedans.


    James Sacré   (natif de cougou en vendée)  Si peu de terre, tout (ed le dé bleu)  
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    10
    hector san malo
    Jeudi 7 Août 2014 à 18:30
    Ah, l'oncle Pa, un de ces visionnaires qui ne voit goutte.. Bonjour la poésie..

    Hector San Malo
    Répondre
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