La presse unanime salue la réédition de Est-ce que, de Jean-Claude Touzeil et Yves Barré.

 

Bien que leur livre fût épuisé, les auteurs affichaient une santé resplendissante. Cette réédition nous ravit. Elle est un remède souverain contre la morosité ambiante. (Le Quotidien du médecin)

 

Le poète Jean-Claude Touzeil est résolument le penseur de ces vingt dernières années. Ses questions ouvrent au lecteur un espace de méditation qui va l'accompagner dans sa quête de sens, l'aider à cicatriser les blessures de la vie. D'ailleurs, la couverture ne donne-t-elle pas le ton ? On y voit le penseur de Rodin assis sur une chaise [...] pour  masquer un vide en bas de son dessin, l'illustrateur a collé un pansement stérile.  (Philosophie magazine)

 

Une impression violette sur papier couleur fraise, les éditions Donner à voir font preuve d'un goût exquis. (Pedenn Zul, bulletin hebdomadaire de la presqu'île de Plougastel)

 

On ne dira pas que c'est à mourir de rire, ce serait trop définitif, disons que c'est à pisser de rire. Au besoin, n'hésitez pas à l'offrir. (La Bougie du Sapeur)

 

Un livre qui questionne ! (Réponse à tout)

 

 

à Léonie Laroue qui préfère

le genet d'Espagne à la vache ibère

 

 

Des nouvelles de Jean (l'astuce) Bertrand.

Il m'apprend qu'il arpente une vallée perdue pour tenter de savoir pourquoi la vache espagnole parle si mal le français.

« Ne me vois-tu pas chevaucher un genet d'Espagne à l'ombre d'une haie de genêts d'Espagne ? Là où j'ai mis une croix.»

Je suis un peu gêné : je ne vois point de croix.

 

Ce n'est pas un ravalement de façade qui sauvera la médecine à visage humain.

Pr. François-Bernard Michel (Aux risques de guérir)

 

Aérogommage

 

Le lichen qui colonisait les pierres disparaît sous l'effet de l'abrasif projeté à basse pression.

La maison se refait une beauté.

Nina, la fille, est photographe. Le père ? Ce qu'il fait le père ? Écrit sur ces images d'un autre temps, sorties de boîtes noires improbables et tirées sur papier argentique.

 

 

 

* L'introduction emprunte à Jacques Prévert (Familiale – Paroles).
Des écrits poétiques sur des images : une proposition d'Alain Boudet.

 

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SANS PAROLES

 

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Jusqu'au 16 septembre, au Mans, le musée de la reine Bérengère présente des encres brodées d'Élisabeth Baillon.

L'artiste associe à des broderies de laine, textes à l'encre de Chine et  photos de famille. Dans la série Voyage dans l'arbre, elle évoque avec tendresse mais sans concession, les secrets de son histoire familiale.

 

 

Dans la vitrine d'un marchand de spécialités polonaises. Un produit des salaisons Szubryt.

Les plus téméraires ne manqueront pas de visiter le site.