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En finir avec le jaune
La danseuse a fine cheville... et belles fesses
En finir avec le jaune, 1997, poudres colorées et enduit sur carton
Le titre laisse penser que la couleur avait davantage d'importance que le sujet. Peu de temps auparavant, j'avais hérité d'un volumineux carton de tubes de gouache jaune qu'un fabricant de peinture ne pouvait vendre après une erreur de conditionnement.
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Commentaires
S'il n'y avait la croix en bas à droite qui fait penser à Tapiès, je pencherais pour une influence Matisse, avec une pointe de Pierre Etaix.
Matisse, Tàpies... C'est sans doute pour ça que le carton était resté dans les cartons.
Les formes et l'économie de couleurs m'ont également rappelé Matisse.
Quant à la croix, elle a beaucoup servi. Elle marquait le début – tracée par l'enfant de la pointe du pied sur le sol – et la fin. Elle était à la fois signature – celle de l'illettré – et le rejet – dessin, toile ratés.
Il a fallu aussi un jour que j'en finisse.
Et Tàpies est vraiment un des plus grands peintres du XXe !
Ah les mystères de la création ! Je ne sais plus quel peindre disait qu'il avait utilisé telle couleur parce qu'elle était moins chère que les autres.
C'est d'autant plus chaud qu'il n'y a pas seulement une danseuse. Pourquoi nier la présence de cet homme à ses genoux? En finir avec la mauvaise foi!
Ma fois, je ne vois pas.
[Quelques secondes plus tard]
À genou ?Ah si ! J'entrevois ce que tu vois.16FloraJeudi 7 Août 2014 à 17:44
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la fesse ronde comme un soleil