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Lorsque l'enfant paraît
Aujourd'hui (vendredi), j'ai peint la Maison 170. Grande sœur de la Maison 062 présentée jeudi. Le soleil étant resté discret, je n'ai pas pu disposer de l'indispensable lumière rasante pour la photographier.
Aussi pour patienter, voici le portrait à l'encre sympathique d'un jeune couple de Chine.
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Lorsque l'enfant paraît, le cercle de famille
Applaudit à grands cris.
(Victor Hugo, Les Feuilles d'automne)
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Commentaires
1CécileSamedi 13 Décembre 2008 à 08:43Tu construiras la maison autour d'eux ... mais surtout avec de grandes portes et de grandes fenêtres ouvertes pour que tout le monde puisse voir et écouter l'enfant grandirRépondreEn breton, on ne dit pas faire un livre, on dit"elever un livre".
Qu'ils ne la nourrissent pas trop! Rien n'est plus offensant qu'une poésie repue...
Voilà une image qui mériterait bien de figurer dans un Petit supplément illustré à l'usage des poètes & et des contemplateurs de lacs qui relèvent d'un geste machinal le col de leur redingote quand le zéphyr passe et frémit d'un bulletin interne de liaison d'une association où y'a justement des poètes comme t'as dit...
(- C'est pas clair, me souffle-t-on. - Tant pis, que je réponds.)
Petite note de bas de page pour les observateurs attentifs : voyez comme la nature est bien faite : Anne Onim oublie un "s" à message... aussitôt la Marguerite, en bonne camarade en met trois à naissant et ça fait l'équilibre ! ...Tiens, un message subliminal !
Rien ne se perd, rien ne se crée ! Les s non plus.
Demain, sur ce blog, un dessin auquel vous avez échappé dans le Petit supplément illustré à l'usage des poètes & des contemplateurs de lacs qui relèvent d'un geste machinal le col de leur redingote quand le zéphyr passe et frémit.
Réponse de moi : le bébé poèsie n'ira jamais en prison !je cherche un poème ou texte de théâtre célèbre dans tous les blogs de la catégorie poésie,qui exprime la souffrance que l'on ressent quand la personne que l'on aime est loin. Pas quelque chose de "gnan gnan" mais avec des mots assez violents, forts, qui expriment le déchirement, la "décomposition intérieure" que l'on peut ressentir par manque de l'autre. Merci16Anne OnimJeudi 7 Août 2014 à 18:34Un couple vers-libriste avec une 'tite Pouaisie qui veut vivre...n'est-ce pas là un mesage subliminal contre l'IVG?17La Marguerite du préJeudi 7 Août 2014 à 18:34Et dire que ça s'pâment d'vant l'queniau naisssant et qu'plus tard y vont te l'traiter d'chenapan en lui courant après avec l'martinet.
Savent point c'qu'y veulent...
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