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Quel déchirement ?
Où l'auteur révèle quelques-uns de ses procédés de fabrication.
Sans croquis préalable, le personnage en quête de chaise est déchiré dans une feuille de papier. Même si les doigts sont habiles, le déchirage n'a pas la précision du crayonnage et oblige à des choix de lisibilité qui influent sur le résultat et contribue à son aspect grossier – effet recherché.
On retrouvera dans les papiers déchirés, le modèle de la linogravure.
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Commentaires
Moi, je déchiquète le papier. Dans un sens ça va, dans l'autre bonjour les dégâts ... faut faire gaffe.
Quand la matière parle elle nous fait découvrir de nouveaux horizons, en plus de son langage propre
signé : mis bout à bout
moi j'adore les carrés derrière, tu les avais déjà montrés.. je trouve ça super beau...( pas intello le com mais sincère )
9yannickMardi 26 Janvier 2016 à 05:38Je ne sais pas quoi dire de plus que d'entendre que ça passe par là ... chut ! ... ça travaille ...
@paul(A) – ... et la coupe est remise en jeu.
@Topa – C'est pourquoi tout est fait à jeun. Ou presque.
@Minik do – Te voilà maintenant à la page.
@Lily – Chacun-e sa recette !
@Cristophe – Je me demande parfois si ce n'est pas essentiellement ça.
@thé âche – Tout à fait juste ce que tu écris. Les contraintes liées à la matière sont sources de création.
@photodilettante – Je les laisse un peu mûrir. Je t'en mettrai de côté.
@Aliénor d'Aquitaine – Gris de Payne ! C'est vrai qu'il dégage une sensation de bleu. Pour ne rien cacher, le noir prévu ne s'est pas laissé faire (encre trop sèche et grumeleuse), le gris de Payne utilisé par défaut manque d'opacité et il est prévu une seconde couleur (voir autre Personnage (billet du 19).
@yannick – Travailler est-il le mot juste, en l'occurrence ?
11yannickMercredi 27 Janvier 2016 à 05:55Bien sûr du verbe "travailler" qui se découvre être enfin en phase avec le plaisir d'être ...
12le wolfSamedi 30 Janvier 2016 à 18:43
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un travail qui déchire grave.