• Les prothèses mammaires, c'est mal sein.

    Carte postale

     

    Un précédent billet sur cette même carte postale ancienne.


    Dans le même esprit (sic) et après Les moustiques n'aiment pas les applaudissements : Les fourmis n'aiment pas le flamenco, d'Auguste Derrière (Le Castor astral).


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  • Ahoui a un nouvel habit. A new design, dit-on.

    J'ai emprunté une étroite bande à une maison qui empruntait à Manet. Y retrouverons-nous nos pinceaux ? Et Manet aura-t-il une critique plus indulgente ?

     

    Maison 047

    Maison 047 (Le Balcon), 2008, acrylique sur carton, 31,4 x 37,4 cm *

     

    « À une fenêtre encadrée de deux persiennes d'un vert plein de gaieté, une femme est assise, ayant auprès d'elle une jeune fille au teint rosé : au second plan on aperçoit le buste d'un gandin vêtu de noir : les deux dames sont en blanc. On ne sait pas bien ce que ces honnêtes personnes font à leur balcon. »**

     

    * Cette maison a fait la couverture de la revue interne d'un excellent éditeur de poésie.

    ** Paul Mantz, Gazette des Beaux-arts, Paris, 1869


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  • Jardin des Renaudies

     

    Machine à passer le temps – Détail du mécanisme.

     

    C'est l'hiver et tant mieux. Sauf pour les cailles sujettes à convulsions. On les soigne en les trempant dans l'eau froide. Elles attrapent alors un mal de narines dont elles finissent par mourir tant se moucher les affaiblit. Buffon, le grand naturaliste, n'en pipe mot. Il rapporte à l'inverse que la chaleur de l'oiseau est telle qu'on en a tiré le proverbe chaud comme une caille.*

     

    * Œuvres complètes, tome septième, page 261


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  • Je n'ajouterai pas aux commentaires de sympathie laissés sur le blog à l'annonce du décès de Georges Jean.

    Alain Boudet a actualisé la page consacrée au poète sur la Toile de l'un.

    Et Oncle Pa nous adresse ce poème en hommage :

     

    Bonne nuit
    Georges Jean

    Les vents d’hiver
    font tomber des feuilles
    qu’on croyait
    sempiternelles.
    En fait on regardait l’arbre
    fier et robuste.
    Un tronc prolongé
    de branches sans fin,
    sur lesquelles on accrochait
    l’éternité
    des mots copiés,
    récités, de poèmes lus.

     

     

    Sur les photos ci-contre, on revoit Georges Jean lors de la remise du 9e Prix Joël Sadeler, le 24 octobre 2009, à Ballon. Il évoquait avec passion Paul Vincensini, dont le recueil Je dors parfois dans les arbres venait d'être récompensé.

     

    Le titre du billet est emprunté à Topa qui se désolait des œuvres de la Faucheuse dans les rangs des poètes, en cette année 2011.

    Georges Jean

     

    Georges Jean


     

     

     

     

     


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  • Un poète vient de mourir.

    Georges Jean a aussi été mon prof de français.Je n'oublierai pas qu'il m'a ouvert les portes de sa maison et de la poésie, me mettant entre les mains Éluard, Tzara, Breton, Desnos...

    Généreux et exigeant, le pédagogue savait trouver les mots :

     

    Georges Jean

    Appréciation de Georges Jean sur un devoir de classe de première.

     

     

    Georges Jean

    Georges Jean en mai 2008

     

     

     


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  • Petite bête

    Forêt de Sillé-le -Guillaume – décembre 2011

     

    Souris ou mulot ?

    J'interroge à ce sujet le muséum de zoologie de l'université de Michigan.

    C'est très simple.

    À gauche : mus musculus ; à droite :  apodemus agrarius. On ne peut pas se tromper.

     

    http://animaldiversity.ummz.umich.edu/site/resources/skulls/mus/m._musculus/84737.ventral.jpg/badge.jpg      http://animaldiversity.ummz.umich.edu/site/resources/skulls/apodemus/a._agrarius/77624.ventral.jpg/badge.jpg


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  • La France va perdre son triple A.

    – Pas de panique, a dit le commandant, il va en rester 2.

    – Moi aussi, il m'en reste 2, a ajouté un condamné récent.*

     

    sam5.jpg

     

    Bian qu'elle n'ait pas fait appel à une agence de notation, sAmAnthA a obtenu le score maximum de 100 sur 100, pour cette page d'écriture du 14 mars 2004.

     

    * Du même : "L'Europe ça m'en touche une, sans faire bouger l'autre."

     

     


    Notre sondage

     

    Préférez-vous que la France perde :

     

    <script language="javascript" type="text/javascript"> // <![CDATA[ function verif(rep){ alert(rep); } // ]]> </script>

    le premier A [ * A A ]

    le deuxième A [ A * A ]

    le troisième A [ A A * ]

    un A au hasard

    aucune préférence

     


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