• Les lecteurs et lectrices historiques de ce blog auront cru un instant s'être débarrassé-e-s de Jean (l'astuce) Bertrand. Nenni ! Les lecteurs et lectrices de nouvelle génération devront s'accommoder du style très personnel* de notre collaborateur scientifique qui nous communique son dernier thème d'étude :

     

    J(l'a)B Pour les plus avertis de mes études concernant les libellules (voir sur Ahoui publication du 6 septembre 2010) j'avais tenté de convaincre les agrions d'être les vigies des poissons confrontés à la prédation des pêcheurs volant et marchant...
    Cette expérience n'ayant pas obtenu les résultats escomptés, sur l'idée et l'étang, Jean, deux ans après, avons établi un nouveau protocole...
    Rappelons-nous. Tentant de sauver le poisson par l'agrion, le poisson mangeant l'agrion, l'oiseau n'avait plus rien à becqueter...
    Refusant de perdre notre objectif, Nous, moi, Jean, avons établi que si l'agrion se trouvait gobé, c'était parce qu'il était trop lourd, incapable d'un envol fulgurant utile à sa survie.
    Nous, Je, moi avons établi que le poids et l'aérodynamisme de ses ailes étaient la raison de cet échec.
    Je vous livre quelques clichés qui vous indiqueront comment poursuivre cette expérience initiée il y a deux années.
    .
    jabAgrion2.jpg
    .
    Très logiquement, s'inspirant de l'aviation de combat, les Étendard et autres Mirage 2000.. Nous, je et moi avons taillé en pointe les ailes des agrions...
    Nous, Je vous tenons au courant des résultats de ce nouveau protocole... restant en relation avec l'aéronavale qui doit nous, je, fournir quelques autres informations secrètes...

     

    jabAgrion3.jpg
       
    Jean (l'astuce) Bertrand

     

     

    * Je me demande même s'ils ne se sont pas aggravés, son style et lui.


    Crédit photos : l'Écho républicain du Gaillacois libéré.



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  • L'auteure voulait tirer le portrait d'une chouette chevêche sur la branche d'un chêne...Voici une superbe contrenuit.*

     

    Contrenuit

    Photo Maïette

     


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  • Onychogomphus

     

     

    Lis, ma belle,
    l'une
    de mes pensées :
    "Planète sans visa"
    un dit de Jean Malaquais.
    Ce titre d'un poche
    que je suis
        les yeux fatigués
    mot à mot
    à cheval
    sur...
        une clôture rouillée.
    Impossible d'oublier.
    leurs ombres.

    Oncle Pa

     

     

    Note du webmestre : le titre du billet est également d'Oncle Pa, sensible à la rencontre entre cette photo ancienne et sa lecture du moment.


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  • Toujours rien

     

    On ne dira pas de Claude qu'il est un bon à rien.
    Primo, sa contribution à rien (3.07.12) est indexée par un célèbre moteur de recherche – 2e rangée à partir du bas, à gauche de la main.
    Secundo, il nous a déniché un petit rien pour 5,90 € que les plus insouciant-e-s parmi vous pourront découvrir en cliquant sur la 2e vignette de la 1re rangée – ce truc blanchâtre qui ne ressemble à rien ou, de loin, à une boîte de Petri.

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  • Un rien inspire le talentueux lecteur. Cette photo dans ma boîte à lettres virtuelle. Dans l'autre, le facteur a déposé le Secret secret de Laurent Albarracin.

     

    Rien – photo Claude Vercey

     

    Photo prise à 16 h 30 ce jour, 2 juillet, aux abords du Monoprix où j'allais changer de plaquettes (de beurre).
     
    Claude

     

     

     

    Avis Over-blog : les commentaires seront fermés ce mardi 03 juillet de 10h à 11h pour maintenance.


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  • Rougequeue

    Rougequeue à front blanc ♀ – Photo Maïette

     

    Un utilisateur de You Tube s’est vu contester les droits d’auteur pour le son accompagnant une de ses vidéos, et composé pourtant uniquement de chants d’oiseaux. (Le Nouvel Observateur, 29.02.12)

     


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  • Crécerelle

    Faucon crécerelle – photo Maïette

     

    Ce faucon crécerelle cherche sa tête.

    La chose n'est pas rare chez les rapaces.

    Ainsi, à propos d'un monument dressé à Nîmes qu'on ne connoît plus que par les aigles sans tête qu'on a longtemps conservés dans cette ville, Claude François Chazot rapporte que ce demi-relief antique repésentoit un fort et puissant aigle, sans tête, qui soutenoit avec le bec un feston d'une longueur et d'une grosseur extraordinaires.*

    Et pan sur le bec ! lirait-on dans le Canard enchaîné..

     

    Demain, pour compenser : une histoire de veau à deux têtes.

     

    * De la gloire de l'aigle, emblême, symbole, enseigne militaire et décoration chez les peuples anciens et modernes, Paris, 1809


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